Une intense effervescence médiatique et sociale sans précédent rattrape
deux décennies de mutisme, de mensonges et d'ignorance. Après les
démentis cinglants de tous les discours de complaisance ou de complicité
du passé, le Tunisien se trouve face à une nouvelle vague de
diffamation et face à des attaques qui surgissent de partout et qui
visent tout, partout …
Le réseau des réseaux, constitue lui seul, une excellente plateforme
pour le règlement de comptes. Libre cours à tous ceux qui, hier, avaient
peur de leur propre ombre et de leur voix, pour ceux qui exécutaient
ventre à terre les ordres éructés par les dirigeants puissants et
impuissants de l’ancien régime, pour ceux qui ont changé les couleurs de
leurs drapeaux, au lendemain de la révolution. Après le 14 janvier, les
rôles se sont inversés et les accusés d’hier deviennent les accusateurs d’aujourd’hui et de demain, ils passent même parfois pour parler " au nom du peuple" ...
Depuis des mois, les dérives de l'anonymat sur le net, notamment, sur Facebook, ne cessent de prendre de l’ampleur, surtout sous le couvert d'un certain anonymat (ou pseudos) qui laisse installer un régime de liberté de parole qui va à l'encontre des droits et qui occasionne assez souvent des écrits et des attaques qui peuvent être considérés comme diffamatoires. L'internaute derrière le clavier trouve son entière liberté sur le web qui devient le lieu de toutes les expressions, qu'elles soient légitimes ou abusives. Sujet numéro 1 : Le dossier politique avec toutes ses composantes ( hommes politiques, financement, alliances , historiques, RCD, disours, parcous, tout et rien ... ).
Selon un sondage d'opinion réalisé, au cours du mois de septembre 2011, un tiers des tunisiens (32,1%) ou peut être plus ne savent pas encore pour qui voter. Ce qui ressort également de ce même sondage réalisé par l'institut spécialisé SIGMA, les gens affirment ne pas connaître suffisamment les partis pour pouvoir choisir. Jusqu'à ce jour, bon nombre de Tunisiens ne connaissent pas encore la grande majorité des partis politiques, ni leurs programmes, ni leurs leaders, ils doutent des personnalités politiques, des décisions prises et des promesses qui se suivent …
Et là, il s’avère que Facebook, comme plusieurs autres acteurs, est en train d’ancrer le flou et de propager, d’une façon très influente, une ambiance de contradiction entre le discours et le contre discours, entre l'instruction et la contre instruction , il favorise la propagation du double langage, des rumeurs et des mensonges … Face à cette vague d'information et désinformation , le Tunisien, de plus en plus indécis, risque vraiment de laisser le cours de l'histoire prendre une voie qu'il pourrait regretter ...
tuniscope.com
Depuis des mois, les dérives de l'anonymat sur le net, notamment, sur Facebook, ne cessent de prendre de l’ampleur, surtout sous le couvert d'un certain anonymat (ou pseudos) qui laisse installer un régime de liberté de parole qui va à l'encontre des droits et qui occasionne assez souvent des écrits et des attaques qui peuvent être considérés comme diffamatoires. L'internaute derrière le clavier trouve son entière liberté sur le web qui devient le lieu de toutes les expressions, qu'elles soient légitimes ou abusives. Sujet numéro 1 : Le dossier politique avec toutes ses composantes ( hommes politiques, financement, alliances , historiques, RCD, disours, parcous, tout et rien ... ).
Selon un sondage d'opinion réalisé, au cours du mois de septembre 2011, un tiers des tunisiens (32,1%) ou peut être plus ne savent pas encore pour qui voter. Ce qui ressort également de ce même sondage réalisé par l'institut spécialisé SIGMA, les gens affirment ne pas connaître suffisamment les partis pour pouvoir choisir. Jusqu'à ce jour, bon nombre de Tunisiens ne connaissent pas encore la grande majorité des partis politiques, ni leurs programmes, ni leurs leaders, ils doutent des personnalités politiques, des décisions prises et des promesses qui se suivent …
Et là, il s’avère que Facebook, comme plusieurs autres acteurs, est en train d’ancrer le flou et de propager, d’une façon très influente, une ambiance de contradiction entre le discours et le contre discours, entre l'instruction et la contre instruction , il favorise la propagation du double langage, des rumeurs et des mensonges … Face à cette vague d'information et désinformation , le Tunisien, de plus en plus indécis, risque vraiment de laisser le cours de l'histoire prendre une voie qu'il pourrait regretter ...
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