Une vingtaine de bénévoles tunisiens en France se sont mobilisés pour
venir en aide à leurs compatriotes, ces jeunes migrants qui ont transité
vers la France après un court passage en Italie et qui se sont
retrouvés dans la rue (Parc de la Villette, Parc des Buttes Chaumont
après avoir fermé le centre "culturel Botzaris", ou dans des squats
insalubres), sans le moindre soutien.
Trahi par une aide quasi absente du gouvernement Français, l’un de ces jeunes tunisiens, Riadh, avait succombé récemment à une infection pulmonaire, d’autres sont malades et pas plus tard que la semaine dernière, 4 réfugiés tunisiens sont morts suite à un incendie qui s’est déclaré dans un squat à Pantin. L’un de ces blessés, Abdelrazak, la jambe plâtré et désorienté, s'est vu refuser un lit dans un hôpital et c’est une bénévole qui l'a hébergé chez-elle pour 3 jours, aujourd'hui il est livré à lui même...
Solidarité oblige, ce groupe de bénévoles se retrouvent chaque dimanche sur l'Avenue Porte de la Villette pour distribuer un couscous, des fruits et des produits d'hygiène, histoire de leur apporter un peu de chaleur humaine.
Ces pauvres jeunes réfugiés sont sans abris, affamés, malades et psychologiquement détruits… Ils ont besoin d’aide, tous les tunisiens doivent se mobiliser pour leur venir en aide.
A.Chennoufi
Trahi par une aide quasi absente du gouvernement Français, l’un de ces jeunes tunisiens, Riadh, avait succombé récemment à une infection pulmonaire, d’autres sont malades et pas plus tard que la semaine dernière, 4 réfugiés tunisiens sont morts suite à un incendie qui s’est déclaré dans un squat à Pantin. L’un de ces blessés, Abdelrazak, la jambe plâtré et désorienté, s'est vu refuser un lit dans un hôpital et c’est une bénévole qui l'a hébergé chez-elle pour 3 jours, aujourd'hui il est livré à lui même...
Solidarité oblige, ce groupe de bénévoles se retrouvent chaque dimanche sur l'Avenue Porte de la Villette pour distribuer un couscous, des fruits et des produits d'hygiène, histoire de leur apporter un peu de chaleur humaine.
Ces pauvres jeunes réfugiés sont sans abris, affamés, malades et psychologiquement détruits… Ils ont besoin d’aide, tous les tunisiens doivent se mobiliser pour leur venir en aide.
A.Chennoufi
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